⏱️ 21,1km à 15,5 km/h…
Dimanche, j’ai couru un semi-marathon en 1H21’59.
Ce chrono me place dans le top 5% des coureurs sur la distance en France.
Pourtant, je suis à des années lumières des tous meilleurs.
Le fossé qui me sépare du top <1% est à mes yeux bien plus important que celui qui me sépare du TOP 20%.
Et c’est aussi le cas sur marathon, 10km,…
Mais aussi à vélo et en triathlon
Ou encore en SEO, marketing, développement web,…
Je reste persuadé qu’avec du travail, de la rigueur et de la patience, on peut tous devenir bon dans n’importe quel domaine.
Pourtant, seuls les meilleurs arrivent à être excellents.
Mais être excellent nécessite des qualités intrinsèques, une charge de travail encore plus incroyable et un état d’esprit spécifique.
En fait, l’excellence a un prix : le sacrifice.
J’ai choisi d’être compétent dans une multitude de domaines car c’est une quête accessible avec du dévouement et de la persévérance.
En revanche, l’excellence dans un domaine précis est bien plus difficile à atteindre.
Alors, j’admire ceux qui consacrent leur vie à perfectionner un art, une compétence ou une discipline.
Ces personnes font d’innombrables sacrifices, dépassent des limites que beaucoup d’entre nous n’imaginent même pas.
C’est une route que peu choisissent, non pas parce qu’ils en sont incapables, mais parce que l’investissement en temps, en énergie et en dévouement est colossal.
Mon parcours m’amène à être bon dans de nombreux domaines, et j’en suis fier.
Mais je reconnais le défi qu’est l’excellence.
Alors selon vous, il vaut mieux être un généraliste talentueux ou un spécialiste exceptionnel ?